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25 avril 2020 : les Gilets Jaunes aurait parlé de leur Acte 76

Mais la liberté expression semble en péril quand notre humour impertinent du genre Macronavirus subit la pression du commissariat


En France ce samedi : ni Gilets Jaunes en Acte 76 Ni Humour impertinent "Macronavirus"

Où est la liberté expression en ce 25 avril 2020 ?




Hier à Toulouse une "jeune femme", selon l'expression notée, fut placée 4 heures en garde à vue pour avoir affiché à son domicile une banderole
« #Macronavirus à quand la fin ? »

Les pressions les sanctions contre la liberté d'expression, contre l'humour impertinent, contre l'analyse intègre et indépendante n'ont certes pas attendu l'état d'urgence sanitaire.

Une France sans gilets jaunes ni humour, c'est donc cela qu'ils souhaitent faire passer avec l'eau du bain coronavirus ?
« Je préfère l'excès de caricature à l'absence de caricature. »

Etonnant, non, d'aller chercher du côté de Nicolas Sarkozy une réponse à la liberté d'expression !...

Et on doit effectivement ne pas laisser passer, donc écrire sur le sujet, quand est sanctionné un simple néologisme formé sur le nom du président
et la crise sanitaite pour laquelle la réaction du Président mais également de l'ensemble de la classe politique fut très tardive.
Oui, je rappelle qu'en janvier tout le monde pouvait savoir ce qui allait arriver, voir ma vidéo du 25 janvier, et que c'est bien le choix de l'économie
sur la santé qui fut imposé en janvier et février.

Les députés de la prétendue opposition qui s'agitent aujourd'hui, on ne les entendait pas sur ce sujet en janvier et février.

Comme on ne les entendait pas quand je lançais des allertes sur la dérive en "dictature rurale" de ma commune, où l'équipe en place
est parvenue à être la seule liste en mars, par le mensonge et l'intimidation.
Mon député m'avait répondu le 14 mars 2020
« Vos affaires locales ne me concernent en rien. »
Le piquant de l'affaire, c'est qu'il s'agit d'un certain Aurélien Pradié, numéro 3 de ce qu'il reste des Républicains,
un prétendu jeune aux idées qui semblent bien vieilleS, ainsi la réalité de son
"Demain, il faudra tout changer. Tout changer. Tout changer."
ce fut :
"Le gaullisme a des éléments de réponse, par exemple avec la grande idée de la participation."

J'ai plutôt l'impression que tous, face aux gilets jaunes comme à l'humour vont chercher dans le gaullisme
un peu d'Alain Peyrefitte, le ministre de l'information des années De Gaulle Pompidou,
celui qu'on surnommait « le ministre de la censure »

Ils ont tous en eux un peu de Peyrefitte, je crois, nos élus.

Quant au 25 avril 2020 sans acte 76, si si, ce serait bien 76 si la ligne jaune n'avait pas été coupée, réfléchissez, et regardez les bonnes vidéos...

Va-t-on voir fleurir le Hashtag #JesuisMacronavirus ?




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